La lutte s’organise dans les Hautes Alpes.
Vingt pièges à moustique tigre (aedes albopictus) sont en effet installés dans le département pour surveiller la propagation de cet insecte vecteur de maladie comme la dengue et le chikungunya depuis 2010. En juin 2017, la présence de ce moustique a été confirmée pour la première fois à Gap avec un cas avéré.
Le département passe donc en niveau “albopictus 1” (sur une échelle de 6) ce qui implique le renforcement de la surveillance départementale et les mesures nécessaires pour éviter tout risque de propagation du moustique.
Le Département a donc décidé de déléguer une partie la lutte anti-vectorielle à un opérateur public spécialisé en la matière, l’EID (entente interdépartementale pour la démoustication) Méditerranée. L’enveloppe s’élève à 40 000 euros.
« Ça fait cher le moustique », a-t-on entendu dans l’hémicycle.
[source : ledauphine.com]